Les député·es italien·nes ont adopté, mardi 16 avril, un amendement autorisant les militant·es d’association pro-vie à entrer dans les centres de conseil organisant des consultations médicale pré-avortement. Une entrave à l’IVG qui ne dit pas son nom.
Giorgia Meloni l’avait dit et répété : la présidente du Conseil italien ne touchera pas à la loi de 1978 qui dépénalise l’avortement en Italie. Alors c’est par un autre moyen, détourné et insidieux celui-là, qu’elle s’en est pris à l’interruption volontaire de grossesse (IVG). La Chambre des deputé·es a[…]