Malgré le délit d’entrave numérique à l’IVG, la propagande des pro-life prospère sur les réseaux sociaux et rapporte même de l’argent aux hébergeurs.
Il y a sept ans, l’Assemblée nationale adoptait la loi “contre le délit d’entrave numérique à l’IVG”. À l’origine, la désinformation sur l’IVG se concentrait sur des sites de militantisme antiavortement, qui hameçonnaient les femmes en quête d’information en étant très bien référencés dans les recherches Google. Aujourd’hui, ces activités se déplacent sur les réseaux sociaux et arrivent, par le biais d’algorithmes opaques, à cibler massivement des jeunes à l’aide de contenus viraux.
La Fondation des femmes et l’Institute for Strategic Dialogue (ISD) ont publié hier, mercredi 17 janvier, un nouveau rapport intitulé : “Mobilisation antiavortement en France : quand les réseaux sociaux menacent le[…]