Alors que le hashtag #MeTooGarçons prend de l’ampleur depuis les révélations de l’acteur Aurélien Wiik, jeudi 22 février, de nombreuses militantes féministes soutiennent et encouragent sans ambages la libération de la parole. Mais on peine toujours à entendre les hommes…
“C’est si difficile et courageux de reconnaître qu’on a été victime de violences sexuelles. Tout mon soutien à ceux qui témoignent ; je pense aussi à tous ceux qui ne le peuvent pas, à ceux qui ont oublié, à ceux qui en sont morts.” Ce sont les mots de l’autrice et journaliste féministe Victoire Tuaillon, postés dimanche sur X. Ils font référence à la récente vague de libération de la parole d’hommes victimes de violences sexuelles, sous le hashtag #MeTooGarçons, lancé jeudi 22 février par l’acteur français Aurélien Wiik.
Jeudi dernier, à la veille de la cérémonie des César 2024, alors que le cinéma français est de nouveau secoué par une vague #MeToo depuis les accusations de Judith Godrèche à l’encontre des réalisateurs Benoît Jacquot et Jacques Doillon,[…]