Six lectrices de Causette racontent pourquoi elles ont, un jour, choisi d’envoyer valser la pression sociale autour du Nouvel An.
“Et toi, tu fais quoi pour le 31 ?” Halloween est bien souvent à peine passé que cette question se faufile dans les conversations. Pour certain·es, elle est source d’exaltation et de réjouissances. Pour d’autres, elle s’apparente davantage à un long tunnel ponctué de “Bah, tu ne vas pas le fêter tout·e seul·e quand même ?”, tant fêter le passage à la nouvelle année, ne surtout pas être seul·e le soir du 31 décembre, compte encore parmi les injonctions sociales les plus fortes. Six lectrices de Causette racontent pourquoi elles ont, un jour, choisi d’envoyer valser la pression sociale et ont décidé de boycotter le réveillon du 31. Santé !
Kim, 30 ans, Île-de-France
“Cela fait plusieurs années que je passe le soir du 31, seule chez moi. Quand j’étais plus jeune, le jour de l’an, c’était LA soirée de l’année. Il fallait faire la plus grosse soirée possible, avec le plus de monde possible et le maximum d’alcool fort. C’est[…]